Création partagée du groupe Henry David Thoreau
Le 16 septembre, on se retrouve au Théâtre pour commencer la création de l’œuvre avec Léandre Ackermann.
On commence par faire un tour de table où chaque se rappelle un moment marquant du parcours :
- Les mots interdits du spectacle « Geh nicht in den Wald » ou #PersonneNeSortiraVivantDeCettePiece
- Ne rien faire à la Cabane de la Chouette, c’était pas chouette
- Le beau cinéma où on a vu « Ma Vie de Courgette »
- Malgré le thème, ce parcours nous a rapproché
- L’envie d’aller voir plus loin
- Étonnement de l’attitude des enfants
- Partage, découverte et surprise
Puis, on fait des dessins du parcours au fusain avec Léandre.
L’œuvre finale sera une cabane (en référence à la cabane de Thoreau, celle de la Chouette, celles de « Geh nicht in den Wald » et celle de SuperBruno).
Le 24 septembre, on se retrouve pendant la journée Portes Ouvertes du Théâtre.
Léandre a fait un « collage » des dessins réalisés le 16 septembre pour pouvoir les redessiner en grand format sur des tissus blancs pour créer la cabane.
- Première étape : Décalquer les dessins retravaillés par Léandre sur 4 grands tissus blancs tendus sur des cadres.
- Deuxième étape : Peindre et remplir les dessins décalqués. On le fait avoir les trois couleurs primaires, c’est un clin d’œil à la caméra thermique de Bienne.
- Troisième étape : Construire l’armature de la cabane en bois.
Malgré quelques tâches de peinture sur le sol, tout le monde est très enthousiaste.
Puis, nous mangeons tous ensemble un repas canadien, accompagné d’un concert organisé pour les Portes Ouvertes.
Le 29 septembre, c’est la dernière ligne droite de la création partagée : on enlève les tissus des cadres et on les coud sur la structure en bois. Tout le monde met la main à la pâte et coud, même les plus petits. On l’installe ensuite dans l’espace pour voir le résultat : Oups ! La corde casse et la cabane s’écroule par terre et une branche se casse. Ouf, cela se répare bien. Ni vu, ni connu (ou presque) !
Le 7 novembre, Léandre installe définitivement la cabane avec un technicien du TDJ et ajoute un toit. La cabane est même éclairée.
Et le 8 novembre, c’est le vernissage avec quelques discours suivis d’un apéritif. On conclut même le parcours en allant voir le spectacle de danse « Hôtel Bellevue » qui traite aussi de la thématique de l’isolement, une belle manière de boucler la boucle.
Merci à :
Andrea, Boris, Cloé, Éline, Elio, Ethan, Fanny, Fany, Florence, Gabin, Marylise, Mona, Lua, Lucie, Pablo, Paul, Quentin, Rémy, Richard, Sébastien, Steve, Thaïs, Valérie